Dès les toutes premières pages, la Bible nous décrit une humanité profondément rebelle envers son créateur, qui ne supporte pas l’idée d’une force supérieure mais qui préfère maîtriser sa vie, ses choix, décider ce qui est bien ou mal quitte à laisser certaines questions sans réponse.

Et le constat est douloureux, l’humanité plonge alors dans le violence, la haine, la destruction et la mort. Les brefs illusions de paix ou de progrès sont à chaque fois balayés par des cycles encore plus dévastateurs. Un monde inquiétant au lendemain incertain : c’est le monde que nous connaissons.

Mais l’histoire ne s’arrête pas là et la Bible nous parle avant tout d’une Bonne nouvelle : celle que, malgré la rébellion de l’homme, Dieu reste souverain, et qu’il reviendra un jour lui-même mettre un terme à la souffrance et rétablir la paix pour l’éternité. C’est le royaume de Dieu.

Un royaume tout-puissant, flamboyant, mais un royaume inversé, au sein duquel le plus petit est le plus grand et à la haine et la violence, sont rendus l’amour et le pardon. C’est en proclamant ce royaume que Jésus, Dieu fait homme, acceptera d’aller jusqu’à la mort. Une défaite apparente qui prendra une toute autre tournure trois jours plus tard quand Jésus ressuscitera.

Car Dieu vainc et offre une merveilleuse espérance pour tous ceux qui choisissent de le reconnaître comme leur Sauveur et Seigneur : la malédiction de la mort éternelle leur a été ôtée par son sacrifice parfait et une place leur est désormais réservée dans son Royaume éternel.

C’est l’évangile du Royaume. La bonne nouvelle de Dieu pour l’humanité.